Tapisseries belges
Chaque tapisserie a une histoire unique et les monarques médiévaux étaient très friands de leurs tapisseries. Par exemple, ils emportaient souvent leurs pièces préférées avec eux lorsqu’ils se rendaient dans l’un de leurs différents châteaux.
Il n’est donc pas surprenant que vous deveniez si attaché à l’un de nos produits.
Déclaration de mode médiévale
Une vraie déclaration de mode médiévale dans votre espace de vie. Une œuvre d’art exclusive à l’histoire riche. Un gobelin raconte une histoire datant de plusieurs siècles et apporte une touche de magie et de chaleur à votre maison.
Avec son caractère chaleureux et son iconographie colorée, la tapisserie murale trouve vite sa place au sein de la famille. Une douceur pour les yeux.
Source d’inspiration
Les tapisseries dégagent un côté à la fois artistique et artisanal.
Elles étaient confectionnées par des artisans dans des ateliers de tissage, tandis que le dessin créatif était généralement l’œuvre d’un artiste de renom. Pieter Paul Rubens a notamment réalisé de nombreux dessins de tapisseries.
La plupart des représentations figurant sur les tapisseries sont inspirées de la Bible et des récits de l’Antiquité classique. La guerre et la chasse constituent aussi une source d’inspiration. Plus tard, des fresques italiennes ont servi de modèles.
L'empereur Charles Quint
L’empereur Charles Quint était un véritable amateur de tapisseries belges.
Les petites fleurs autrefois omniprésentes, issues du célèbre style « Mille-fleurs » des 15e et 16e siècles, ont été modifiées par l’empereur.
À l’occasion de son couronnement en 1520, il a fait tisser neuf tapisseries à Bruxelles. « Los Honores ». Ces œuvres d’art richement illustrées dépeignent les vertus qu’il souhaitait acquérir pour être un bon monarque. Parmi ces vertus figuraient entre autres la foi, l’honneur, la sagesse et la justice. L’empereur Charles Quint était très attaché à ces tapisseries. Il les emmenait toujours avec lui dans ses différents châteaux.
